Jeudi 30 Mai 2019

Revue de presse économique du 30 mai 2019

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Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce jeudi :

Le Matin :

• Le Maroc renforce sa présence sur la scène énergétique mondiale. Le Royaume, représenté par l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (Iresen) est l’un des fondateurs d’un nouveau partenariat international pour le stockage de l’énergie. Établi à l’initiative du groupe de la Banque mondiale, cette alliance vise à renforcer la coopération internationale pour accroître l’utilisation du stockage énergétique dans les pays en développement, à travers l’adaptation et la création de nouvelles solutions. Le partenariat regroupe l’institution de Bretton Woods et 29 organisations.

• Le Fonds d’équipement communal (FEC) poursuit sa métamorphose. La banque spécialisée dans le financement des collectivités territoriales planche sur une stratégie pour sa transformation digitale. Elle doit commanditer le 1er juillet prochain pour 3 millions de dirhams l’étude de définition de cette stratégie. La feuille de route en projet permettra au FEC d’assurer son évolution vers un système d’information (SI) intégré et "agile" afin d’accompagner la stratégie de développement de la banque. Il s’agit également d’assurer la couverture fonctionnelle des activités afin de répondre à l’ensemble des besoins fonctionnels en se basant sur des technologies alignées sur les "meilleurs" standards internationaux en matière de solutions SI bancaires et de services digitaux.

L’Economiste :

• "Le marché marocain du médicament n'est plus attractif pour les laboratoires", selon un président d’un laboratoire pharmaceutique. En cause, l'absence d'une couverture médicale universelle et surtout les particularités de l'accès aux soins du fait qu'il fait supporter les frais avant de se faire rembourser. Ce qui est rédhibitoire pour bon nombre de personnes. La deuxième raison concerne les niveaux de prix pratiqués au Maroc. Beaucoup de laboratoires se sont retirés du Maroc. Les industriels préfèrent vendre 200.000 boîtes d'un médicament à 100 DH dans un pays voisin, par exemple, plutôt que 50.000 au Maroc à 15 DH. Du coup, certains médicaments, qualifiés parfois de "sociaux" en raison de leur faible prix, disparaissent régulièrement des rayons des pharmacies en raison de leur marge peu attractive. 

• Si le décret sur la couverture des médecins et certaines professions libérales tarde, celui des taximen et des activités annexes est imminent. Entre chauffeurs et propriétaires de taxis, 150.000 personnes au total sont concernées. Seuls les détenteurs d'une carte professionnelle seront éligibles. Le revenu qui servira de base à la cotisation à l'assurance maladie et à la retraite serait compris entre 3.000 et 4.000 DH. EXP.

Aujourd’hui le Maroc :

• Bénéfiques ou pas, les Accords de libre-échange (ALE) sont incontournables dans un environnement ouvert où la mondialisation est là pour créer des marchés. Les menaces ont également été enregistrées depuis quelques années et pour l'heure, le gouvernement marocain repense sa stratégie commerciale pour construire un nouveau modèle économique conformément au discours royal du 13 octobre 2017. En attendant, des secteurs stratégiques ou symboliques agonisent sous impact de la concurrence déloyale pratiquée par de nouveaux entrants rodés et outillés pour écouler leurs produits finis car fortement soutenus par leur pays d'origine. La finalité des ALE quand ils sont bien gérés est d’obtenir un secteur industriel structuré pour une économie génératrice d'emplois. Ce n'est pas le cas aujourd’hui alors que l'Etat avançait la création de 500.000 postes!

• Agadir Haliopôle Cluster (AHP), pôle de compétitivité du Souss-Massa pour la pêche et l’industrie de transformation des produits de la mer, a procédé au lancement du laboratoire d'analyse d'autocontrôle d'histamine (l'Haliolab), premier de son genre au niveau du port d'Agadir et du Royaume. Il s'agit d'un nouveau service offert par AHP et appuyé par l'Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA) qui permettra aux acteurs de la chaîne de valeur d'évaluer en temps réel la fraîcheur de la matière première au débarquement. Il vise également le renforcement de la compétitivité des entreprises du secteur de la pêche et de l'industrie de transformation des produits de la mer. Le coût de l'analyse du taux d'histamine ne dépassera pas les 100 DH, contre 295 DH en vigueur dans les laboratoires classiques. 

L’Opinion : 

• Plusieurs pharmacies, à l’échelle de l'ensemble du territoire national, enregistrent des ruptures de stock de certains médicaments. Sérum physiologique ou sérum salé, Cardioaspirine, Tahor et Sintrom manquent depuis des mois, sans qu'aucune explication ne soit donnée. Dans le cas du Sintrom, les malades, obligés d'en prendre, sont confrontés à de gros risques. Étrangement, ni les laboratoires pharmaceutiques, ni les grossistes ou distributeurs, auprès desquels le journal a demandé des explications, n'ont daigné répondre. C’est à travers la quête pour l'achat de sérum physiologique, un produit primordial et vital, que l'enquête a commencé. Selon les pharmaciens, il y a pénurie de sérum physiologique depuis plus de six mois. 

• Abdelkader Amara, ministre de l'Equipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau, a indiqué, à la chambre des représentants, que l’Etat projetait d'atteindre un niveau de réserve en eau de 30 milliards de m3. Un programme prioritaire est en cours avec comme but de dépasser ce taux. La programmation des grands barrages obéit au plan national de l'eau et aux plans régionaux des bassins hydrauliques, a noté le ministre en rappelant la politique publique dans le domaine des barrages.


Al Bayane :

• Abdelahad Fassi Fehri, ministre de l'Aménagement du territoire national, de l’urbanisme, de l’habitat et de la politique de la ville, a appelé à accélérer les procédures de mise en place d'un bureau national d'ONU-Habita à Rabat, le Maroc ayant respecté l'ensemble de ses engagements dans ce cadre. Le ministre a tenu à assurer que l'accord siège signé le 11 mai 2016 à Rabat entre le gouvernement marocain et l'Organisation des nations unies, représentée par ONU-Habitat, relatif à l'établissement d'un bureau national d'ONU-Habitat à Rabat, a été approuvé récemment par le conseil de gouvernement, et que le Maroc a versé sa contribution financière pour la mise en place de cette institution onusienne. L'objectif de la mise en place de ce bureau à Rabat est de renforcer davantage la coopération entre les deux parties, de manière à ce que le Royaume puisse bénéficier du soutien de l'ONU pour mettre en œuvre ses politiques générales d'urbanisme et d'habitat mais aussi pour faire valoir son expérience dans ce domaine.

• Le Maroc a intégré officiellement l’Alliance "Mission Innovation", devenant le 25ème membre de ce groupement international d’innovation énergétique et le premier pays Africain à y adhérer. "C’est un grand honneur et nous exprimons notre engagement pour apporter notre plus-value à la lutte contre le changement climatique", a déclaré le ministre de l’Energie, des mines et du développement durable, Aziz Rabbah lors de la 4ème réunion ministérielle de l’Alliance "Mission Innovation" à Vancouver (Canada). "La stratégie énergétique marocaine s’inscrit totalement dans les objectifs de Mission Innovation qui consistent à accélérer l'innovation en matière de développement d'énergies propres pour limiter le réchauffement climatique", a souligné Rabbah. 

Libération :

• La Chambre des représentants a adopté huit conventions internationales et approuvé le projet de loi n°32.18 modifiant et complétant la loi n°22.01 relative à la procédure pénale, mardi en séance plénière, et ce à l'unanimité. Il s’agit de cinq conventions bilatérales avec la Grande-Bretagne, l’Irlande du Nord et la République de l’Inde et de trois conventions multilatérales dans le cadre des Nations unies et de l’Union africaine. Après le vote des huit conventions, la Chambre des représentants a approuvé à l'unanimité le projet de loi n° 32.18 modifiant et complétant la loi n° 22.01 relative à la procédure pénale.

• La coordination entre l'Instance nationale de la probité, de la prévention et la lutte contre la corruption (l'INPPLC) et la Commission nationale anti-corruption (CNAC) constitue un mécanisme institutionnel pour le suivi et l'évaluation des réalisations de la Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption, a indiqué le ministre délégué chargé de la Réforme de l'Administration et de la Fonction publique, Mohamed Benabdelkader. Présidant la réunion de coordination consacrée à l'examen des propositions de l'INPPLC relatives aux troisième et quatrième programmes dans les domaines de "Transparence et accès à l'information" et "Ethiques", aux côtés du président de l'INPPLC, Mohamed Benabdelkader a mis en exergue l'excellente relation qui lie la CNAC et l'INPPLC ainsi que le rôle central que jouent les deux instances.

Akhbar Al Yaoum : 

• Entendu par la Commission des finances du Parlement, Driss Jettou, président de la Cour des comptes s'est contenté de présenter une synthèse de son rapport sur l'OCP. Cette décision a suscité une polémique au sein des parlementaires, qui se demandaient toujours la raison pour laquelle Jettou refusait de dévoiler ce rapport dans son intégralité devant le parlement. Noureddine Mediane, président du groupe PI à la Chambre des Représentants, s’est montré réticent de voir les parlementaires privés du rapport de la mission de contrôle de la gestion menée par la Cour au sein de l'OCP, dans son intégralité. Mediane ne manquera pas de mentionner ce constat devant le ministre de tutelle lors de l’examen du résumé dudit rapport. Pour sa part, Aîcha Lablak, présidente du Groupement parlementaire du PPS à la Chambre des Représentants, a appelé à permette aux parlementaires l’accès à plus de données, notamment l’impact du traitement des phosphates et l’utilisation des eaux sur l’environnemental. • Le Maroc semble ne pas avoir encore tranché sur l'accord établissant la Zone de libre-échange continentale africaine, signé par Saad Dine El Otmani, chef du gouvernement. Entré en vigueur depuis ce jeudi, le Maroc n’a pas encore ratifié cet accord, qui a satisfait le quorum requis, soit le vote de 22 pays pour. Selon plusieurs experts, ce retard est incompréhensible car cet accord bénéficiera au Maroc qui, depuis 2016, est retourné en force à ses racines africaines sur les plans politique et économique. Selon des sources bien informées, l'attitude du Maroc ne serait pas motivée par des "considérations politiques". 

Al Alam : • Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, a offert, mardi, en la Résidence Royale à Salé, un iftar en l'honneur de Jared Kushner, Conseiller principal du Président des Etats-Unis d'Amérique, qui effectue une visite au Maroc. Auparavant, le Souverain a eu des entretiens avec M. Jared Kushner qui ont porté sur le renforcement du partenariat stratégique ancien, solide et multidimensionnel entre le Maroc et les Etats-Unis, ainsi que sur les évolutions et développements que connait la région de l'Afrique du Nord et du Moyen Orient.

• Lors d’une rencontre sur le "Système de gestion de l’immobilier et de l’urbanisme entre législation et exigences du développement global dans le monde rural", Nizar Baraka, secrétaire général du PI, a affirmé que cette question figure parmi les priorités du projet sociétal du parti visant à atteindre la justice sociale, la dignité, l’égalité des chances, réduire les disparités sociales et spatiales et améliorer les conditions de vie dans le monde rural. Le développement du monde rural est l’une des priorités du parti car, selon Baraka, il est une composante essentielle de la structure territoriale et économique au Royaume. Il constitue, en effet, 90% de la surface globale du pays, 40% de la population et comprend 85% des communes du Royaume.

Al Ahdat Al Maghribia :

• Face aux multiples agressions auxquelles les usagers des autoroutes font face, les autorités ont entrepris des mesures de prévention pour préserver la sécurité des conducteurs (des jets de pierre causant des accidents mortels). Ainsi, les services concernés ont équipé les ponts, construits au-dessus des autoroutes, de clôtures. Abdelkader Amara, ministre de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau, a assuré que 21 ponts ont été équipés de clôtures et de caméras de surveillance, dans le cadre du renforcement de la sécurité des usagers des autoroutes au Maroc. Répondant à une question orale sur "les conditions de prévention dans les autoroutes au Maroc", Amara a précisé que les travaux d’établissement de clôtures sont en cours au niveau de 74 ponts autoroutiers. Le réseau autoroutier marocain, long de 1.800 km, est doté de 3.050 km de grillages métalliques et 540 km de barrières en béton, a-t-il fait savoir. • Le directeur général de la sureté nationale Abdellatif Hammouchi a envoyé une note de service aux préfets de police, aux chefs de la police régionale et provinciale et aux chefs d’arrondissements de police dans laquelle il a souligné la nécessité d’une application rigoureuse des dispositions du Code de la route à l’encontre des conducteurs qui enfreignent ce Code. Hammouchi les exhortent d’être fermes avec ceux qui, à l’approche du moment de la rupture du jeune ou tard dans la nuit, se plaisent à conduire d’une manière à mettre en danger la vie des usagers de la route.

Al Ittihad Al Ichtiraki :

• Le Maroc ne bénéfice pas assez de ses relations avec la Chine, selon le cabinet d’affaires international McKenzie, soulignant que le royaume devrait tirer plus de profit de ses relations économiques et commerciales avec la Chine. Dans un article, ce cabinet a cité plusieurs leviers pour lesquels le Maroc doit opter afin d’attirer davantage d’investissements chinois et renforcer ses exportations envers ce pays. Selon lui, le Maroc n’a pas réalisé cette dernière décennie des profits suffisants de ses relations avec la Chine, car entre 2007 et 2017, les investissements directs de la Chine au Maroc sont estimés au-dessous de 20 autres pays dans lesquels ce pays investit.

• Les Nations-Unies rendent hommage aux contributions et sacrifices des Casques bleus marocains, déployés dans le cadre des opérations de maintien de la paix de l'ONU, ainsi qu’à leur engagement à préserver la paix et la sécurité, en particulier en Afrique, à l’occasion de la Journée internationale des Casques bleus, célébrée le 29 mai de chaque année. En effet, avec plus de 2.100 soldats de la paix en uniforme déployés dans le cadre des missions onusiennes, le Royaume du Maroc est "un partenaire essentiel des opérations de maintien de la paix des Nations-Unies depuis de nombreuses années", a souligné le porte-parole du maintien de la paix de l’ONU, Nick Birnback. Selon lui, les Casques bleus marocains sont déployés dans certaines des missions onusiennes les plus difficiles, notamment en République centrafricaine (RCA) et en République démocratique du Congo (RDC), où ils s'acquittent de "tâches clés telles que la protection des civils".

Rissalat Al Oumma :

• Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a procédé, mardi dans la province de Benslimane (région Casablanca – Settat), à l'inauguration d’un Centre d’addictologie, un projet solidaire qui traduit la Haute sollicitude royale envers les personnes en situation de vulnérabilité souffrant de comportements addictifs. Réalisé par la Fondation Mohammed V pour la Solidarité pour un investissement global de 6 millions de dirhams, ce Centre, le premier du genre dans la province de Benslimane, fait partie intégrante du programme national de lutte contre les conduites addictives, mis en œuvre, depuis 2010, conformément aux Hautes instructions Royales, par la Fondation en partenariat avec les ministères de la Santé et de l’Intérieur.

• Plus de 17.600 Marocain périssent chaque année à cause du tabagisme, selon Tobacco Atals. Plus de 2.300.000 Marocains, âgés de plus de 15 ans, fument quotidiennement, alors que 124.000 femmes marocaines fument des cigarettes chaque jour, selon la même source.

Bayane Al Yaoum :

• Le ministre de l'Aménagement du Territoire National, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la Ville, Abdelahad Fassi Fehri a mis en avant, à Nairobi, le rôle d"'équilibre" joué par les villes intermédiaires en allégeant la pression que connaissent les grandes villes, en proposant des solutions alternatives et en assurant l'immobilier et les infrastructures, ainsi que des conditions convenables sur le plan de la compétitivité et de l'attractivité. Intervenant lors d'un Side events organisé par le ministère sur les "Villes Intermédiaires et réduction des inégalités sociales et spatiales : implémentation de la vision Habitat 2030 au Maroc" en marge de la 1ère Assemblée d'ONU-Habitat, le ministre a fait remarquer que les villes marocaines, bien qu'elles soient un espace de création de richesse, sont confrontées à de nombreux défis qualitatifs et quantitatifs", liés à la dynamique internationale basée sur la compétitivité, le processus d'ouverture et de libre échange, aux côtés d'autres problèmes délicats portant essentiellement sur la pauvreté, le chômage, l'exode rural, l'habitat insalubre, le transport, l'eau et la pollution.

• L'écrivain-journaliste, Khalil Hachimi Idrissi, a été élu nouveau président de la "Confrérie des Compagnons de Gutenberg-Maroc", lors de l’Assemblée générale de cette Association, qui regroupe des professionnels de l'Ecrit engagés pour la propagation et le développement de la lecture et la culture au Maroc. Un des fondateurs de Gutenberg-Maroc, le compagnon Hachimi Idrissi s’engage dans son programme à développer davantage l’action socioculturelle à travers le programme des "bibliothèques pour tous" et l’action en direction de la jeunesse notamment à travers le programme "comment la lecture a changé ma vie" et à prendre part au débat d’idées au Maroc en développant des prises de positions audibles. 

Al Massae :

• Des secrétaires d'Etat quitteraient le gouvernement au prochain remaniement ministériel, prévu dans les semaines à venir. Selon des informations obtenues par le journal, des ministres se sont plaints d’une faible performance de certains secrétaires d’Etat et de leur retard à traiter des dossiers qui leur sont confiés. Certains secrétaires d’Etat ont été chargés par exemple de suivre l’exécution de certains projets dans certaines villes, mais leur rendement a été en dessous des attentes et a exacerbé les ministres, à cause du retard de l’exécution de ces projets et parfois de la persistance des problèmes des abus des sociétés ayant remporté les marchés.

• Le ministère de la santé s’apprête à lancer une vaste campagne de recrutement des milliers de cadres, qui vont rejoindre les établissements hospitaliers afin de combler les lacunes constatées en matière de ressources humaines. Alors qu’il ne dépassait pas 2000 postes auparavant, le ministère bénéficie cette année de 4000 postes budgétaires dans la loi de finances pour 2019. Les infirmiers, les techniciens de santé et les assistants en soins s’accaparent la part du lion avec 2630 postes, selon des sources du journal. De même, 300 postes seront réservés aux médecins généraux, 30 aux pharmaciens et aux dentistes chirurgiens, 710 aux résidents, 320 aux cadres administratifs et techniques et 10 aux professeurs assistants, ajoutent ces sources.

 

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